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Editions Chloé des Lys
15 avril 2019

Des lendemains verts de Jérôme Devillard

Auteur : Jérôme Devillard

Titre : Des lendemains verts

Editeur : Editions Chloé des Lys

ISBN : 978-2-39018-064-7

Prix : 17,10€

Dimensions

14,6 x 20,6 cm

Masse : 176 g

 

 

9782390180647_1_75

 

Biographie :

Jérôme Devillard est né en 1972 en Auvergne. Après un master en génétique, il part s’installer à Marseille où il partage son temps entre l’enseignement de la biologie et l’écriture. Passionné de sciences et d’écologie mais également de littérature et de philosophie il tente de concilier l’ensemble de ces facettes dans ses écrits.

Résumé « Des lendemains verts », Jérôme Devillard :

Une adolescente rêveuse, un jeune homme révolté, une anthropologue sous la pluie parisienne, un biologiste australien, un ouvrier rêvant de partir en Inde, un roi, une journaliste et une ambassadrice… Tels sont les différents personnages de ces nouvelles écologiques.

A travers les huit récits composant ce recueil, Jérôme Devillard nous invite à un voyage autour du monde, guidé avec sensibilité par ses personnages qui redécouvrent leur relation à la nature. Au fil des pages ces hommes et ces femmes se croisent les uns après les autres, formant un lien entre chaque nouvelle et entre chacun d’eux, ce même lien qui nous unit tous et nous rattache à la nature.

Extrait « des lendemains verts », Jérôme Devillard

 

Nous avons décollé de bonne heure ce matin. C’est Michael qui pilote. Nous sommes seuls à bord du vieux coucou. Quel merveilleux sentiment de liberté !

L’eau s’étend à perte de vue, bleue, claire ou foncée, se fondant dans le ciel, reflétant le ciel. Des ombres fugitives passent parfois sous les vagues créant de nouvelles teintes bleu ultramarine. Puis se métamorphosant en myriade argentée, elles percent les flots de leurs ailerons, laissant une écume blanche comme signe de leur passage. Au niveau des anciennes îles de Namia et de Losap, des turquoises et des ocres complètent le tableau. Tout de même, c’est impressionnant de voir ces îles submergées par les eaux. C’est beau aussi. Pourquoi est-ce que je ne vois jamais ça en reportage… sans doute parce que je ne m’arrête pas au charme de ce que je vois. Je me demande comment se présentaient ces lieux. Des gens y vivaient-ils ? Ont – ils dû tout abandonner ? Leur vie était – elle à l’image de la vie paradisiaque que l’on imagine sur ces langues de sable ?

 

 

 

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