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Editions Chloé des Lys
4 décembre 2014

L'interview d'Ani Sedent

Pseudo ou nom réel ?

Ani Sedent ? Pseudo, mais tout aussi moi que moi sous mon vrai nom.

 

Où habites-tu ? Explique…

J’habite Oupeye, c’est à une quinzaine de kilomètres de Liège et une vingtaine de Maastricht.  C’est une commune de fruiticulture et nous sommes jumelés avec la très belle commune Française d’Erquy en Bretagne.

 

Une famille, des enfants…

Une maman, un frère et mon chien.

 

Sucré ou salé ?

Sucré et salé ! J’aime bien manger.

 

Petite, que voulais-tu faire ?

Je me souviens avoir rêvé que j’étais Goldorak mais ma plus grande ambition était de devenir une fée.

 

A quelle figure historique aimerais-tu ressembler ?

Je n’aime pas trop l’idée de vivre dans la peau de quelqu’un d’autre mais si je pouvais avoir un quart du dixième du génie de De Vinci, je ne dirais pas non.

 

Ton truc contre le stress ?

Une séance de bisous avec mon chien.

 

Que fais-tu dans la vie ? Explique…

Après une formation d’illustratrice, j’ai fait des petits boulots mais de vilains nuages dont la vie a le secret ont fait que mes activités ont surtout été familiales.

 

Quand as-tu commencé à écrire et pourquoi ?

J’ai toujours aimé écrire.  Gamine, j’inventais des petites histoires ou des poèmes.  Je crois que j’avais envie de décrire les images qui se formaient dans ma tête, un peu comme quand je dessine.

 

As-tu déjà publié quelque part ? Et quoi ? Quel genre ?
C'est ma première publication 
As-tu déjà remporté des prix ou obtenu une reconnaissance quelconque ?

J’ai obtenu le second prix à un concours de contes organisé par BIBLOUPE, le réseau des bibliothèques d’Oupeye.  Mon conte s’appelait « La boucle de cristal ».

 

Pourquoi Chloé des Lys ?

Quand j’ai découvert le site de Chloé des Lys, je l’ai trouvé riche en genres littéraires. En plus, c’était en Belgique.  Mais ce qui m’a plu, c’est que mon manuscrit allait vraiment être lu et que, quel que soit le verdict, on allait m’expliquer pourquoi.  C’est bien d’avoir un avis objectif sur son travail.

 

Quel ouvrage vas-tu publier ? Quel genre ? Résumé ?
 Mon monde c’est celui des contes et de la fantasy et comme je ne suis pas d’une nature sombre, un peu d’humour aussi.  C’est plutôt un livre pour la jeunesse mais on peut le lire à tout âge, bien sûr.

Les Chroniques de l’Invisible avec Magie en péril qui en est le premier épisode, raconte les aventures de Valerian un jeune apprenti héros qui va devoir arrêter une dangereuse sorcière et sauver son monde d’une terrible catastrophe.  Il accompagne le colérique Merlin qui est mage et Dame Hortense, surnommée Hortie qui est marraine fée. Au cour de leurs pérégrinations ils vont rencontrer beaucoup d’autres personnages, un miroir névrosé, un dragon, des nains, un géant, un hippogriffe, des petits guerriers à la sarbacane infernale, des monstres affreux, des limaces géantes… enfin, une et pas très longtemps, heureusement.  Et encore bien d’autres dans des lieux plus étranges les uns que les autres.  C’est comme un road trip dans un monde magique.

 

Comment fais-tu pour essayer de te faire connaître ?

Je réponds à des interviews ?

Sans rire, j’essaie de préparer différentes choses comme la création d’un blog.  J’ai envie de participer à un maximum de foires et manifestations de ce genre.  Je ne suis pas encore au point mais ça va venir, c’est sûr.

 

Projets pour la suite ?

Je travaille sur le second épisode des Chroniques de l’Invisible.

 

Pourquoi écris-tu et comment ?

Ecrire c’est comme dessiner, sculpter ou peindre, on part de presque rien et on manipule la matière jusqu’à ce qu’on ait créé quelque chose qui tienne la route, c’est très satisfaisant.  Quand je m’installe devant mon ordi, j’écris les idées qui me viennent avec un maximum de détails puis je relis et retravaille mon texte jusqu’à ce que j’en sois satisfaite.  Cela me demande beaucoup de relectures et d’énergie mais je crois que c’est comme ça que je travaille le mieux.

 

Tes influences, tes maîtres, tes coups de cœur en littérature, cinéma, peinture, musique…

En littérature, j’ai pas mal exploré la fantasy et la S.F bien sûr avec des auteurs (parmi beaucoup d’autres) comme C.J Sherry, M.Z. Bradley ou Anne Mac Caffrey, mais j’ai aussi beaucoup aimé lire R. Van Gulik, Anne Perry ou M. Connelly dans le genre polar.

Je peux aussi lire un d’Ormesson, un O’Brian ou un Dan Brown avec autant de bonheur.  Mais je crois que l’auteur qui a déclenché chez moi l’envie de me mettre vraiment à l’écriture, c’est Terry Pratchett et son extraordinaire Disque-Monde.  Un auteur génial, vraiment.

J’aime bien la B.D. aussi.  En ce moment, je m’amuse beaucoup avec les albums de Crisse.

Au cinéma, il y a tellement de films qui m’ont plu que je n’en citerai aucun mais je voudrais quand même rendre hommage à Michel Audiard.  Ses dialogues dans la bouche d’un Blier, Gabin et autre Ventura… quel bonheur.

En musique, j’écoute souvent ERA ou Gotan Project, mais en général, je n’ai pas d’a priori, quel que soit le style, le genre musical, si ça me plaît, je n’hésite pas.

Reste la peinture… De Vinci, Monet, Klimt, ils sont tellement nombreux.

 

Un ami ou une amie dont tu aimerais qu’on parle ?

 

Tes hobbys ? Musique, dessin, peinture…

Le dessin reste mon hobby principal mais je dois bien avouer que je suis assez accro aux jeux vidéo sur D.S ou P.C mais rien de violent, plutôt des jeux d’énigmes, de recherche ce genre de choses.

 

As-tu un blog ou un site ? Adresse…qu’y proposes-tu ?
Pas pour le moment, mais dès que ce sera fait, je vous préviendrai 
Qu’est-ce qui te fout en rogne ?

Les esprits de clocher !

 

Ta citation favorite ?

– Je ne sais pas si quelqu’un de connu a dit ça un jour mais moi je trouve cette phrase pleine de bon sens : « l’univers est trop grand pour avoir la vue courte ».

 

Une qualité et un défaut

Une qualité ? L’honnêteté

Un défaut ! Je suis assez soupe au lait.

 

Un souhait ?

Que mes lecteurs (nombreux j’espère) prennent autant de plaisir à lire mon livre que j’en ai eu à l’écrire.

 

Quelle est la question la plus stupide qu’on pourrait te poser ?

Je ne sais pas mais le jour où on me la posera, je le saurai et celui ou celle qui l’aura posée, probablement aussi.

 

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