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Editions Chloé des Lys
16 janvier 2008

Laurent Roman

Interview
Laurent Roman

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Pseudo ou nom réel ?

Nom réel. Paraît que j'ai le nom rêvé pour écrire (sourire)...

 

Tu habites où ?

Tournai. Mais je suis un peu athois de coeur puisque ma compagne y réside.

 

Sucré ou salé ?

De plus en plus sucré au fil des années. Et je ne saurais dire pourquoi maintenant que j'y songe...

 

Ton job ?

Disons que je recherche encore et toujours le job idéal, je croyais l'avoir trouvé l'an dernier et puis non... Donc, sans emploi, momentanément.

 

Un souhait ?

Que les gens que j'aime ne me déçoivent plus (sans commentaires, que mon nouveau livre plaise et que l'inspiration en me lâche plus...

 

Pourquoi t’es chez Chloé des Lys ?

Parce qu'ils m'ont donné ma chance et permis de réaliser mon rêve : publier la biographie sur mon grand-père, qu'on s'y sent « à la maison » et que j'aimerais grandir, en tant qu'auteur, en leur compagnie.

 

T’écris quoi ?

Je suis très éclectique. Hier une biographie, aujourd'hui un roman policier, demain... Sans oublier mon job de parolier qui me tient particulièrement à coeur.

 

Tes livres cultes, tes films cultes, tes personnages cultes ?

Je n'ai pas vraiment de livres cultes, j'aime bien Yann Moix, Sepulveda, Dan Brown...

Mes films cultes ? Docteur Jivago, Sixième sens, ceux avec De Niro et Poelvoorde.

Quant aux personnages cultes, difficile à les nommer, au risque d'avoir une liste trop longue et trop hétéroclite !


Quelle est la question la plus stupide qu’on pourrait te poser ?

Tu ne travaillerais pas plutôt que d'écrire ? Je continue à penser que les gens qui n'écrivent pas s'imaginent que nous, les auteurs (écrivains, paroliers, scénaristes, etc.), ne sommes que de doux rêveurs. Artiste, c'est pas un métier ! Bon en même temps, faut bien dire que ça ne nourrit pas -à part quelques heureux veinards- son homme. J'en suis la preuve vivante, puisque ça fait 20 ans cette année que je suis inscrit à la Sabam comme auteur et que, à preuve du contraire, mes fins de mois sont toujours aussi ardues. Mais je continue à y croire et puis finalement, écrire, il n'y a que ça qui m'aille, comme disait la pub !

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